mercredi 23 juin 2004

La-bas...

En rentrant l'autre soir je regardais le paysage.
Les alignements de maisons dans les rues bristoliennes.
25 minutes de vélo, j'ai le temps d'observer...
Et puis je me disais que ca allait me manquer, cette ville a dimension humaine, quand je rentrerai en France.
Connaitre ses voisins, bavarder par-dessus la palissade, habiter une petite rue, une maison, tout en étant en ville...
Quand je rentrerai...
Quand...
Et la ca m'a frappé.
Si.
"Si" je rentre.
Pas "quand".
Apres tout, pourquoi suis-je persuadée qu'un jour je vais rentrer.
Qu'y-a-t'il de si évident ?
Pourquoi ne pas m'arreter la ?
Pourquoi ne pas les adopter ?

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