Hier, j’ai cherché partout. J’ai fait les rayons chocolat et bonbons dans les 2 sens, en regardant chaque étagère. Mais rien à faire, les papillotes ÇA N’EXISTE PAS dans mon pays. C’est dommage, j’avais une soudaine envie d’un truc français, d’un truc de l’enfance, un peu du vieil esprit de Noël.
A la place j’ai acheté des cornichons, même pas des gherkins; des vrais cornichons marqués CORNICHON dessus. J’ai eu la vague idée de les emballer un par un dans de l’alu pour en faire des papillotes, et puis j’ai réalisé que sans la blague à la con et le pétard, ça ne ferait pas l’affaire.
Alors je les ai mangés.
Tous.
C’est que je n’avais pas grand-chose d’autre à faire, puisque chéri était encore à son Christmas lunch (13h00 – 2h00, un lunch de plus de 12 heures d’affilées, c’est dire s’il sentait la bière en rentrant), et que le chat avait décidé qu’elle passerait la soirée dans la chambre et pas au salon, puisque son papa d’amour n’était pas là.
Heureusement, le papa d’amour en question a décidé de ne pas passer Noël dans le Dorset avec sa maman chérie à lui, mais de rester avec moi dans le grand Nord pour garder le chat, sinon avec chacune dans son coin de l’appart et mes cornichons à la con, je crois que je n’aurai pas forcément réussi à apprécier la chance d’être tranquille dans mon canapé quand il fait un temps de chien dehors.
Tout ça parce que j’ai fini mes Zugmeyer et j’ai pas de papillotes.
Et que mon chat continue à préférer son papa.
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