Il y a des papiers accrochés partout. Simples morceaux de scotch blanc, post-its, affichettes... tout autour de mon écran, un concert de trucs à faire et autres machins importants. Comme les horaires de mon avion pour Grenoble, le 13 juin dernier, ou cet Annual review of plant physiology de 1977 que j'ai oublié d'aller chercher à la bibliothèque. D'autres papiers finissent par tomber, les amorces à commander, et order a 2nd tiling ! Urgent ! Pas si urgent, finalement.
Puisque ces penses-bêtes fonctionnent aussi bien qu'un noeud dans le mouchoir que je n'ai pas, j'essaye une nouvelle technique depuis la semaine dernière: des post-its qui dépassent SUR l'écran. Et bloquent ma lecture, me rappelant ainsi qu'ils existent. Raisonnement plutot simple: aucune chance que je ne finisse pas par faire ce qui y est écrit, à force de raler de ne pas pouvoir lire correctement mon écran... non ?
Ah ah.
Je viens de trouver la parade, sans même m'en apercevoir: se pencher pour regarder en-dessous. Ca marche très bien. Et la lecture de mon écran est redevenue confortable.
Je crois qu'il ne me reste donc plus qu'une seule solution: arrêter de noter ce que j'ai à faire, et le faire. Avant d'oublier.
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