vendredi 27 octobre 2006

J'y mets mes joies, j'y mets mes peines.

En fait, il n'y a pas grand chose de mieux que le blues pour se re-centrer.
Retrouver ce qui est important.
Une (ou deux) (ou trois) poignée(s) d'ami(e)s, une petite famille, un mutant à la con, et une guitare qui pleure.
C'est à peu près tout ce que j'aime.
(Johnny Hallyday style, certes, mais ça ne me fera pas voter Sarkozy pour autant).

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