Dans une semaine pilepoil, je devrais voir la vie en rose. J’avoue que non seulement j’ai un peu hâte, mais qu’en plus je n’y crois pas tellement. En même temps si j’y croyais, je n’aurais sûrement pas besoin de cette seconde semaine de latence, la vie serait formidable (ou pas) sans attendre qu’un antidépresseur fasse effet.
Certes.
C’est un peu comme l’œuf et la poule. Ou un cercle vicieux. En tout cas un truc con dont je n’ai pas la réponse.
En attendant j’attends.
J’attends que mon trizol arrive.
J’attends que mes chambres de cultures soient réparées.
J’attends que mes T2 poussent.
J’attends que le collaborateur anglais s’y mette.
J’attends que l’heure d’aller dormir arrive.
J’attends la semaine prochaine.
J’attends.
Et attendre c’est ne plus avoir aucun contrôle.
Et ça, c’est vraiment déprimant.
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