Le salon et sa lumière tamisée derrière le gros canapé rouge, mes pieds sur la table basse, une bouteille, 2 verres et des cartons plein de trucs asiatiques, Kate qui parle toujours trop vite, nos paquets de cigarettes en stand by devant la porte du balcon.
La salle de bain surchauffée, Eben et Annelie les cheveux shampouinés, l'odeur de propre, mon t-shirt détrempé, les voix, les cris et les rires.
Mon bureau encombré, ma paillasse en bordel, une can de diet irn-bru à moitié pleine, le bruit de la machine à PCR à peine perceptible derrière la puissante voix de Robbie, la pluie sur les fenêtres, pas d'urgence ni de projets immédiats.
Un message d'un vieux copain, des histoires échangées, des souvenirs en pagaille, savoir que certains seront là pour toujours.
L'obscurité de ma chambre, 2 couettes, 1 livre, 3 oreillers, plusieurs heures avant que le réveil ne sonne, le bruit du vent dans la rue.
Dimanche matin.
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